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La fraternité ne connait aucun obstacle

11 Ocak 2017

« Notre destination est-elle là où la route nous mène ? Ou bien prenons-nous la route pour arriver à notre destination… Lorsque nous prenons la route, nous savons où nous voulons aller mais notre arrivée est inconnue. Même si nous décidons de notre itinéraire, notre destination est la décision de la destinée. Ce que nous pouvons rencontrer en route, les agréables circonstances puis nos cœurs s’unissent. Les intentions, les promesses du départ sont en réalité les nécessités de l’affirmation “Je suis là moi aussi”. Être dans l’attente d’une invocation, d’un sourire et du bonheur dans les yeux. », c’est avec ses paroles que Zeynep Sari, présidente des actions sociales du Département des Jeunesse féminine des Pays-Bas région Nord de l’IGMG, exprime le voyage pour faire le bien ou être l’outil du bien.

Être les mains et les jambes d’une personnes handicapées, apporter quelques petites touches dans leur vie, les rend si heureux ! Mirala est désormais l’une de ces heureuses personnes. Elle habite dans la région Sandjak des Balkans. Le département de la Jeunesse féminine des Pays-Bas du Nord de l’IGMG et Hasene Hollande ont financé un fauteuil roulant et une voiture rechargeable pour Mirala.

HASENE International e. V.

Kreissparkasse Köln
IBAN: DE80 3705 0299 0149 2890 54
BIC: COKSDE33XXX

Durant la dernière campagne de Colis alimentaire dans les Balkans, Madame Sari qui était alors observatrice, rencontre Mirala dans la région Sandjak. Elle et son équipe lui dépose un colis et apprennent qu’elle ne peut plus marcher à la suite d’une paralysie de l’enfant. Mirala n’a que 13 ans et elle tente de s’accrocher à la vie avec son père et ses deux sœurs. Elle a perdu sa mère il y a peu. Elle va à l’école tous les jours accompagnée de son père. Désormais, Mirala pourra utiliser sa voiture pour se rendre à l’école et on lui offre également un fauteuil roulant pour qu’elle puisse se déplacer tranquillement pendant les cours.

Madame Sari affirme que Mirala, en voyant ces appareils, a d’abord préféré garder le silence puis par la suite, sa joie s’est exprimée sur son visage. En pensant que désormais, Mirala allait pouvoir se promener dans le village sans l’aide de personne, sa joie et celle de ses sœurs se répandait dans toute la maison.

Madame Sari termina en disant : « Ceux qui ont apporté leur soutien durant la Journée mondiale des handicaps ont participé à la joie dans les yeux de Mirala. Je tiens à rappeler qu’il y a des milliers, des dizaines de milliers d’enfant comme Mirala qui attendent notre aide. Les vrais handicapés sont ceux qui ne voient pas “le handicap” des autres. Et tout comme la graine est confiée à la terre, les handicapés sont confiés à la société. »